Conscience collective

    Dans la multitude des relations entre les personnes, il y a quelque chose d’invisible qui les attire : l’amour. Ce phénomène  indescriptible  et  très  complexe  nous  parvient du plus profond de nous même, on dit « je ne sais comment », et l’on fait des « choses » (j’englobe dans ce mot plein de faits et gestes, idées…) sans trop savoir pourquoi : cela s’appelle l’instinct.
    Voilà un mot fort  intéressant car on le marie avec d’autres : l’instinct de survie, l’instinct maternelle, l’instinct de conservation. Pour  résumer,  ce sont des sensations que l’on ressent sans trop savoir pourquoi, on les subit, cela est naturel, on le subit.

     La différence  entre  les  hommes  et  les animaux, ce  n’est  pas  l’instinct,  ni  les  sentiments, mais  c’est la Conscience. Celle-ci peut être personnelle mais surtout collective.
    Le propre  de  l’homme  est d’avoir une Conscience Collective, que chaque être humain met à disposition de ses  congénères  lorsqu’il le  peut et aussi s’il le veut. C’est là que se trouve notre distinction des autres espèces animales car nous avons  créé une puissance surnaturelle, tellement forte et gigantesque qu’elle se trouve devant nous et en nous mais nous arrivons difficilement à la déceler. Cette force a été véhiculée à travers les siècles par des  philosophies  religieuses  parfois  différentes  mais  toutes  complémentaires  car  ayant le même but : servir l’espèce.

    L’éloignement  des  religions et, de  ce fait, du souvenir de nos ancêtres par ce que l’on appelle « les moyens modernes  de  communication », a  fait  que  nous  nous sommes  éloignés de  nous-même, sans nous en rendre compte, pour retomber au stade primaire de la conception : la bête.

    L’instinct nous permet de survivre et les religions (conscience collective) nous permettent de vivre.

    De  part notre  vie, nous nous  confrontons à des situations qui nous font « peur » (au sens large) ou qui nous stressent. Ces  deux  stimuli  créent  chez  nous  un sentiment  de  peur,  de mal être et de ce fait nous obligent à bouger. Celui qui n’a jamais peur ou  n’est jamais stressé (on parle de bon stress) ne fait jamais rien de « bien » ; mais  c’est  la maîtrise  de   cette  peur  qui   nous  aide  à  avancer, car  tel est notre destin : ne   plus  avancer c’est mourir. On  peut  s’arrêter  parfois  pour  reprendre  des forces,  pour analyser notre environnement, mais l’on doit repartir   pour  continuer  notre chemin. S’« arrêter »  peut  vouloir  dire  dormir,  se  reposer, méditer, avoir des instant  d’inaction physique  pour  reposer  le corps, mais  aussi  et  surtout  l’esprit,  qui  doit  digérer toutes les informations qu’il reçoit perpétuellement.

    Il ne faut pas oublier  que seul, on  ne peut  pas aller loin, c’est la multiple connaissance qui permet d’avancer si vite mais évidemment, il faut  pouvoir la communiquer aux autres pour qu’elle soit profitable à tous, y compris à soi-même.

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